La gare de Cambron - Laviers, parfois appelée gare de Grand-Laviers[1], est une ancienne gare ferroviaire française de la ligne d'Abbeville à Eu, située dans le hameau de la Halte, sur le territoire de la commune de Cambron, à proximité de Petit-Laviers (hameau de la commune de Grand-Laviers), dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.
Ne doit pas être confondu avec Gare de Cambron-Casteau.
Cambron - Laviers | ||||
Quais en , vus depuis le passage à niveau de la rue de la Halte. | ||||
Localisation | ||||
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Pays | France | |||
Commune | Cambron | |||
Hameau | la Halte | |||
Adresse | Rue de la Halte 80132 Cambron |
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Coordonnées géographiques | 50° 07′ 20″ nord, 1° 46′ 48″ est | |||
Gestion et exploitation | ||||
Propriétaire | SNCF | |||
Exploitant | (Halte fermée) | |||
Caractéristiques | ||||
Ligne(s) | Abbeville à Eu | |||
Voies | 1 | |||
Quais | 2 | |||
Altitude | 5 m | |||
Historique | ||||
Mise en service | 1882 | |||
Fermeture | 1993 | |||
Géolocalisation sur la carte : Somme
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Géolocalisation sur la carte : France
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Elle fut mise en service en 1882 par la Compagnie du Nord, avant d'être fermée en 1993 par la Société nationale des chemins de fer français (SNCF).
Établie à 5 mètres d'altitude, la gare de Cambron - Laviers est située au point kilométrique (PK) 179,310 de la ligne d'Abbeville à Eu (à voie unique ; fermée), juste avant un passage à niveau[2] (PN no 93), entre les gares fermées de Faubourg-de-Rouvroy et de Gouy-Cahon.
Cette gare (ou plus précisément cette halte) a été mise en service à l'ouverture de la ligne d'Abbeville à Eu par la Compagnie des chemins de fer du Nord, soit le [1].
En , Cambron - Laviers est un point d'arrêt facultatif, notamment desservi par le train no 1775 qui part de la gare d'Abbeville à 17 h 32[3].
Elle a intégré à sa création, le , le réseau de la Société nationale des chemins de fer français. La fermeture de Cambron - Laviers est intervenue après 1990[4], en l'occurrence en 1993.
Les deux quais existent toujours[2], l'un d'entre eux (recouvert par la végétation) ayant probablement été utilisé lorsque la ligne était à double voie.